La Révolution à Précy – 3ème partie

La Charité de Précy

Ce qui reste de la Charité de Précy en 1989

L’an mil sept cent quatre vingt dix le vingtième jour de novembre, huit heures du matin, nous Jean-Pierre Tardu, notaire royal demeurant à Précy-sur-Oise, en vertu de la commission à nous donnée par MM. les administrateurs composant le directoire du district de Senlis le quatre octobre dernier sommes transportés en la Maison de la Charité et des pauvres malades dudit Précy à l’effet de procéder :
1° à l’inventaire des biens meubles et effets mobiliaires de toute nature appartenant à ladite Charité,
2° et des titres papiers et enseignements généralement quelconques sans exception qui peuvent intéresser ladite Charité et autres… propriétés et autres droits qui en dépendent ; En exécution des décrets de l’Assemblée Nationale, des quatorze et vingt avril et dix huit juin dernier et des lettres patentes du Roy du vingt huit du même mois de juin.
(ordonnant l’inventaire des Corps et communautés, collèges et autres établissements publics ainsi que les déclarations prescrites par les décrets du 13 novembre 1789 – gazette nationale ou moniteur universel du samedi 19 juin 1790).
Où étant avons trouvé M. M. Louis Pierre Levasseur, maire de la commune de cette paroisse. Etienne Vachette, Charles François Boutrois et Pierre Vallery Grehan, tous trois officiers municipaux, le nommé François Alexis Motte, procureur de ladite commune, auquel nous avons fait part du sujet de notre transport et les avons requis de nous faire faire la représentation des dits meubles et effets et des titres et papiers de ladite Charité pour en être par nous fait inventaire, ce qu’ils ont fait et y avons procédé ainsi qu’il suit…
(P.S. Voir Pouillé du Diocèse de Beauvais 1707. Arch. Dép. G. Z. 353, p. 364, cf. page annexe).

Le serment du jeu de paume

Le 12 décembre 1790, l’an mil sept cent quatre vingt dix, le dimanche douze décembre, à l’issue de la grande Messe après affiche posée à la porte de l’église et avoir annoncé au son de la caisse, (tambour) en vertu d’une délibération faite par M. M. les maires et officiers municipaux de Précy en date du 7 du présent mois, j’ai Jacques Jean Charles Tellier, sergent en ladite municipalité procédé à la vente des meubles et effets étant en la Maison de la Charité des pauvres dudit Précy, m’ayant été présenté par le Sr Boutrois, des dits officiers et trésorier actuel de ladite Charité…
La Charité de Précy est en fait l’Hostel Dieu de Précy. Doyenné de Beaumont. Le Pouillé du Diocèse de Beauvais établi en 1707 précise : « Induit du Cardinal Chigi, Légat en France du 22 Aoust 1664 certifié par les notaires apostoliques Hubert et le Vasseur et signé d’eux avec paraphes du 27 en suivant, le dit indult portant que Angélique de Vaucouleurs âgée de 55 ans fort infirme ayant bâti à ses dépens une maison pour panser les malades, recevoir les orphelins et instruire la jeunesse et promettant y construire un oratoire pour y dire la messe par Prêtres séculiers approuvés elle désire qu’elle soit érigée en hospital et qu’on puisse y administrer le sacrement d’Eucharistie pour elle, lesdits malades et orphelins, le tout lui est accordé après néanmoins que l’évêque aura visité ladite maison, approuvé ledit hospital et donné les permissions nécessaires qui ne dureront qu’autant qu’il lui plaira et ce sans préjudice du curé du lieu et de ses droits curiaux, exceptant néanmoins le jour de Pâques et les fêtes plus solennelles de l’Église auxquelles il n’accorde pas que l’on y communie et toutes fois dans ces fêtes plus solennelles si la nécessité le requiert ».

Archives départementales de l’Oise
Série Q. Domaines à Liquidation et Sé¬questres. 1790. Établissements Charitables.
20 novembre 1790


Maires et Adjoints

Calendrier révolutionnaire


Le 13 novembre 1791
Monsieur Gesseaume Pierre est élu maire. Monsieur Tellier Jean, procureur de la commune.
Messieurs Lefière Jean, Bansse Charles, Derebergue Pierre, officiers municipaux, ont prêté serment de maintenir de tout leur pouvoir la Constitution du royaume, d’être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi.
Le 10 décembre 1792 de la première République (1792-1804).
Monsieur De Neuilly est élu maire jusqu’au 30 Ventôse an troisième de la République.
Le calendrier révolutionnaire (13 ans) commence le 22 septembre 1792, l’an premier de la République. Les mois s’appellent; Vendémiaire, Brumaire, Frimaire, pour l’automne ; Nivôse, Pluviôse, Ventôse, pour l’hiver; Germinal, Floréal, Prairial pour le printemps ; Messidor, Thermidor, Fructidor, pour l’été.

Bonnet rouge de liberté

Le 30 Ventôse an troisième de la République
Monsieur Devimoy est élu maire, Monsieur Boutrois est élu agent national. Le citoyen maire fait lecture de l’arrêté du représentant du peuple daté du 4 de ce mois portant recomposition complète des autorités constituées de la commune de Précy et à rendre compte de la notification faite du dit arrêté aux citoyens composant la nouvelle municipalité et après serment par eux de bien servir fidèlement et remplir leurs fonctions. -suivent les signatures de dix-huit officiers municipaux.
Le 24 Frimaire an quatrième de la République (14/12/1795)
Monsieur Bansse est nommé agent municipal jusqu’au 30 Ventôse an sixième de la République.
Monsieur Morin est nommé adjoint. Ont prêté serment suivant la loi (en vertu) d’un arrêté de l’Administration du Département dans chaque commune de moins de cinq mille habitants il sera nommé un agent municipal et un adjoint.


En fouillant les registres du Comité de surveillance de Précy

La croix du chevet


Le 22ème jour de Brumaire deuxième an de la République
Le comité a reçu deux lettres, lues par le président, l’une du citoyen Hain, l’autre de Delaunoy, curé de Précy, détenus tous deux en la maison d’arrêt de Chantilly, qui appellent en leur faveur la sollicitude du comité pour les tirer de leur captivité.
Rien à dire sur Tardu, ni sur Hain, ni sur l’abbé Delaunoy lequel a toujours « montré une parfaite obéissance aux lois, son respect pour les autorités constituées et n’a rien fait à notre connaissance de contraire à la Liberté, à l’égalité et l’indivisibilité de
la République. Le comité charge ses députés d’offrir de sa part à nos frères salut et Fraternité ».
(Texte apparemment contradictoire avec ce qui est écrit au 27 ventôse l’an deuxième).
« Citoyens le confessional qui sert de guérite porte une capucinade pour inscription, je demande qu’il y soit substitué : le fanatisme renversé par le génie de la liberté ou le triomphe de la raison ».
Signé Alex Berthier.

Assignat de 15 sols


3ème jour de Frimaire an deuxième de la République Française.
Une et indivisible (pas périssable) la citoyenne Josse a apporté un mémoire pour justification de son mari mais le comité décide de ne pas signer ce mémoire. On tambourinera pour inviter les patriotes à apporter des chemises et à échanger leur or et leur argent contre des assignats. « Le citoyen Alexandre Berthier a envoyé du comité, un drapeau tricolore surmonté d’un bonnet de la liberté pour être offert à la commune et servir de girouette à la place de la croix sur le clocher de l’église. Le président du Comité l’a porté à l’église où le corps municipal était assemblé ».
Extraits du discours que devait tenir le Président Franqueville :
« Les signes et les titres qui pouvaient rappeler le règne du despotisme et de la tyrannie (sont) détruits ou brûlés, nos impositions payées, enfin cinquante de nos enfants combattent les esclaves des despotes pendant que nous fournissons les réquisitions qui nous sont faites pour l’approvisionnement des armées et de nos frères de Paris malgré le fléau de la grêle qui a ravagé une partie de nos moissons…
Notre commune est pauvre mais elle offre ce qui est en son pouvoir. Nous disposons sur l’autel de la Patrie au nom du Peuple de cette commune de chemises, des draps, des serviettes, des guêtres, du vrai linge et de la charpie pour les défenseurs de la Patrie.

Gobel, archevêque de Paris

Nous apportons pour les frais de la guerre des médailles et deux cent douze livres en argent parmi lesquelles offrandes vous distinguerez avec reconnaissance celles des citoyens les plus pauvres qui ont déposé une journée de travail. Nous remettons six croix dites de Saint Louis dont une cassée et des brevets. Nous portons au Trésor National quatre mille livres en or et en argent qui se sont trouvés dans notre commune et apportées par les citoyens pour être changés en assignats. Cette démarche est le vœu libre de nos concitoyens. Vive la République, la Convention, la Montagne et les sans-culottes ! ».
Signé : Franqueville Président.
Boutrois Secrétaire.
16ème de Frimaire an deuxième de la République
« A comparu au comité à la fin de la séance, Pierre Colasse lequel déclara avoir déposé ses lettres de prêtrise au district de Senlis le 13 présent mois de primaire et qu’il a remis au corps municipal ce jourd’hui le calice qui appartenait aux chapelains de Précy avec sa patène. Le comité arrête qu’extrait du présent arrêté sera remis au citoyen Colasse et qu’il rendra justice aux vertus civiques et au patriotisme connu de ce républicain ».
Le 27 ventôse l’an deuxième
Premier registre du Comité de Surveillance de Précy

Entrée du Comité de Salut public

« Le citoyen curé (Abbé Delannoy) n’a d’ autres revenus que sa cure, on n’a trouvé aucunes traces de relations sous les scellés, ses liaisons étaient ses confrères voisins et les habitants de la commune, qu’il n’a jamais quitté la commune, qu’il a prêté ses serments et ne s’est pas conformé à la loi pour son casuel, qu’il a refusé de lire les lettres pastorales et qu’il ne s’est pas toujours montré un chaud patriote ».
Note : Ce texte est apparemment contradictoire avec celui des archives paroissiales. Les lettres pastorales que le curé a refusé de lire sont sans doute celles de Jean-Baptiste Massieu, évêque constitutionnel de l’Oise de 1791 à 1793, sacré le 6 mai 1791 par Gobel, archevêque schismatique de Paris. L’évêque légitime, François Joseph de la Rochefouchauld faisait partie des martyrs de septembre. Il fut sauvagement assassiné aux Carmes à Paris.
Tout laisse à croire que le curé jouissait de la sympathie du peuple malgré le manque de patriotisme que le comité révolutionnaire lui reprochait. Ceci explique pourquoi ses membres ont longtemps hésité à l’arrêter mais la crainte de sévices du Comité de Senlis et surtout de Chantilly eut raison de la bienveillance et de la sympathie des Précéens.
le dix neuf Floréal l’an deuxième de la République
(extraits du deuxième registre)
Une lettre d’un agent national dénonce au comité que les citoyens vont au cabaret au lieu de venir entendre lire les lois dans le temple de la raison (l’église), d’autres y mettent une négligence coupable. La loi sur le (prix) maximum des denrées et des marchandises n’est pas exactement suivie. On y veillera. Les terres de Pierre de Neuilly ne sont pas toujours labourées, il sera mis en arrestation. « Il lui sera donné une garde qui sera payée par lui jusqu’à ce que ses terres soient labourées et mises en état de recevoir la semence convenable en saison ».

Vache et veau à la mare

Le 20 Floréal, Pierre de Neuilly vient s’expliquer au Comité. « N’ayant rien dit à sa décharge au contraire, le Comité persiste dans son dernier arrêté ».
Le 23 Floréal an deuxième
Pierre de Neuilly ayant labouré deux arpents de terre, la garde sera retirée aujourd’hui mais elle sera remise si le citoyen de Neuilly néglige de continuer à cultiver le reste.
Le 23 Prairial an deuxième
Le citoyen Urbain Desjardin, fils du citoyen Desjardin tailleur, âgé de douze ans est comparu en vertu du mandat à lui envoyé hier pour sur la plainte des officiers municipaux être questionné « pourquoi et par quel conseil » il avait détaché le drapeau surmonté d’un bonnet de la liberté qui était sur le toit de la halle. Le citoyen Desmarais (15 ans) demeurant chez le citoyen Séjournai le lui avait commandé lui disant que c’était par ordre de l’agent national et pour être porté à la procession qui aura lieu le 20 de ce mois pour la fête de l’Etre Suprême. Le citoyen Denys Valet dit Biscornet, voisin de la halle avait reçu le drapeau des mains de ces deux jeunes gens avec recommandation de n’en parler à personne, le drapeau devant être porté à la procession.
Le 1er Messidor an deuxième
Il sera publié dans la commune au son de la caisse que tous les citoyens de cette commune sont autorisés à arrêter tout citoyen qui ne serait pas connu et lui demander ses papiers…
On fera une visite chez les citoyens qui ont des vaches afin de « s’assurer des vaches pleines ou qui ont des veaux, des nouvelles vellées et faire d’après cela un aperçu de ce qui pourra être porté en beurre au marché ».

Un apothicaire

Le 23 Messidor l’an 2
Par une lettre du Comité de Salut Public et de sureté générale, adressée à l’agent national du district de Senlis avec les trois tableaux de renseignements concernant les trois détenus de la commune, il est demandé sur eux des renseignements plus précis que les membres vous donnent « en leur âme et conscience et en vrai républicains ». De l’interpellation desdits membres il résulte ; « pour Louis Florent Delaunoy, curé de cette commune, qu’on lui a connu un caractère ouvert, qu’il s’est parfaitement bien montré depuis le commencement de la Révolution en 1789, qu’il n’a pas manifesté son opinion dans la commune ni à la connaissance d’aucun membre du comité à la fuite, à la mort du tyran, ni au 31 mai. Quant aux crises de la guerre, c’est là où son opinion a été prononcée et il prenait beaucoup plus de part à nos revers qu’à nos fortunes et conquêtes. On ne croit pas qu’il ait signé de pétition ou arrêté liberticide à moins que ce ne soit dans d’autres communes… »
Le 23 Fructidor l’an 2 de République une et indivisible
Dernière séance.
La loi du 7 Fructidor concernant l’organisation des Comités Révolutionnaires (art. 28) prescrit que les comités révolutionnaires des communes dont la population ne s’élève pas au-dessus de huit mille individus sont supprimés.
Les deux registres ayant servi à inscrire les délibérations seront déposés au comité du chef lieu de district à Senlis où ils seront portés par le citoyen Derebergue président et un membre dudit comité.

En parcourant les registres des délibérations communales de Précy (1790-1793)


Supplique pour détention de fusils
Le 22 septembre 1793 « il a été arrêté… de porter tous les fusils de chasse au Directoire du District de Senlis malgré le besoin qu’il arrive d’en garder une partie pour servir dans quelques circonstances, pour sa défense ou pour tuer quelques animaux dangereux. On a vu plusieurs renards et une louve accompagnée de ses petits qui est passée dans la commune de Précy ; plusieurs chiens soupçonnés d’ être sauvages ; que dimanche dernier un chien de forte taille s’ est introduit dans la cour du citoyen d’Haugeranville, a mordu plusieurs chiens et s’est ensuite jetté sur le citoyen Berthier dont il a déchiré les vêtements… que des vagabonds et personnes étrangères ont depuis quelques jours volés des bestiaux et volailles, qui étaient armés d’un pistolet… que dans ces circonstances il est nécessaire d’avoir des fusils dans la commune. C’ est pourquoi expédition du présent sera envoyé au Directoire… afin d’obtenir la remise d’un nombre de fusils suffisants pour la défense de la commune, des piquets étant insuffisants pour repousser des hommes armés et détruire des animaux malfaisants ».

Un arrêté de vandales
Le 30 septembre 1793 « a été arrêté par le Conseil Général de la Commune que pour faire disparaître tous les signes de la féodalité et de la royauté, il sera… employé un nombre d’ ouvriers suffisants pour désceller les Épitaphes qui sont dans l’Église dudit Précy, effacé les fleurs de Lys, détruire un monument qui se trouve dans le choeur de cette Église et représente une tombe d’un ci-devant Seigneur, même d’ouvrir le caveau qui est sous le dit monument et d’en extraire les plombs et tout ce qui pourrait s’y trouver… Faire dans cette église tant intérieurement qu’extérieurement tout ce qui sera nécessaire pour effacer tout ce qui s’ y trouve de l’ancien régime.
Là de suite il a été fait ouverture dudit caveau dans lequel il a été trouvé plusieurs vieilles tombes de plomb ouvertes et en mauvais état que nous avons fait quitter dudit caveau et ensuite avons fait peser les plombs dans sa totalité et être de treize cent livres. lequel plomb ainsi que toutes les boiseries et ferrures, le marbre et autres objets provenant des matériaux des différents monuments détruits seront vendus au profit de la commune et… le prix sera employé aux réparations des édifices et autres objets et autres objets à la charge de la dite commune ».
Signé De Neuilly, Maire. Champion.
Laurent.
Delaunoy.

Descente des cloches
Le 4 octobre 1793 «il a été arrêté que pour satisfaire à la loi du 23 juillet dernier, des quatre cloches qui sont dans le clocher dudit Précy, trois seront descendues pour être envoyées au Directoire du District de Senlis… Le citoyen Nicolas Tallon descendra les trois cloches pour le prix de 43 livres».

Décret pour arrêter les suspects
Le 8 octobre 1793 on publie un décret pour arrêter les suspects de la commune. Le même jour on exige de la part des seigneurs d’Haugeranville et sa femme ainsi que de Gabriel César de Berthier, son beau-frère et frère, de prêter serment de ne pas émigrer. Le général et son beau-frère prêtent serment d’attachement à la République.
Argenterie – Plomb et fer
« Cejourd’hui, huitième jour de la première décade du deuxième mois de l’an second de la République Française une et indivisible, le maire et officiers municipaux de la commune de Précy-sur-Oise, assemblée après avoir ouï le Procureur de la commune, il a été arrêté que vendredi prochain, l’argenterie appartenant à l’Église de Précy sera remise au Directoire de District de Senlis laquelle argenterie consiste :
1 – en deux petits chandeliers d’argent pesant deux livres et dix onces.
2 – un plat en argent ovale pesant un marc , deux onces.
3 – un vase d’argent pesant quatre onces six grains.
4 – deux burettes pesant huit onces quatre grains.
5 – un encensoir pesant y compris sa chaîne, deux livres cinq onces.
6 – une navette avec sa cuillère pesant cinq onces onze grains.
7 – une croix d’argent pesant quatre livres sans être démontée.
8 – et enfin la garniture du bâton et ladite croix brisée en plusieurs morceaux pesant six livres cinquante et demi »
Le lendemain 9 octobre « Pour satisfaire aux décrets du District de Senlis qui réclame le plomb et le fer dans l’Eglise »,
on enlève les grilles du chœur et les cercueils en plomb des caveaux ainsi que les deux grilles de fer à l’entrée du cimetière.
Dépot des titres féodaux
Le 13 octobre de l’an second de la République, maître Jean-Pierre Tardu notaire à Précy est prié de déposer tous les titres féodaux dont il est le dépositaire en sa qualité de notaire. Il y en a cinq pages.